Les ministres des finances de la zone euro se
réunissaient ce jeudi à Luxembourg avec au menu le programme
des réformes en Grèce et la situation des banques espagnoles. L'occasion de
faire le point sur l'Espagne dont la situation semble malheureusement se rapprocher
de plus en plus de la Grèce...
La situation de l’Espagne s’aggrave parce qu’elle
emprunte à des taux de plus en plus élevés, cela nous le savons. Mais il
se produit également un autre phénomène qui aggrave la crise que connaît ce
pays, et qui l’entraîne droit vers la situation de la Grèce : ce
sont essentiellement les banques espagnoles qui achètent – à crédit – la dette
émise par Madrid. Il faut bien lire ce passage d’un article des Echos :
« La taille modeste de l'opération d'aujourd'hui
[émission de 2 milliards d’euros d’obligations à moyen-terme] a permis aux
acheteurs domestiques d'absorber l'offre », explique Nicholas Spiro, directeur
de Spiro Sovereign Strategy. Depuis les injections de liquidités de la
Banque centrale européenne (BCE), les banques domestiques ont pris le relais
des investisseurs étrangers, qui fuient le marché de la dette publique
espagnole.
Par Philippe Herlin | Atlantico.fr
Source: http://fr.news.yahoo.com/boule-neige-l-etat-espagnol-pr%C3%A9cipite-banques-crise-031640897--finance.html
La Grammaire Française
Les différents aspects grammaticaux que sont dans la nouvelle
Boule de neige : l’Etat espagnol précipite ses (Les Adjectifs Possessifs) banques dans une (Les Articles Indéfinis) crise à la grecque
Les (Les Articles Définis) ministres des (Les Articles Indéfinis) finances de la (Les Prépositions) zone euro se réunissaient ce jeudi à Luxembourg avec au (Les Prépositions) menu le (Les
Articles Définis) programme des réformes en Grèce et la (Les
Articles Définis) situation des (Les
Articles Indéfinis) banques
espagnoles. L'occasion
(Les Articles Définis) de (Les Articles Indéfinis) faire le (Les
Articles Définis) point sur
l'Espagne dont la
(Les Articles Définis) situation semble malheureusement se rapprocher de plus en plus de la Grèce...
La (Les
Articles Définis) situation de l’Espagne
(Les Prépositions) s’aggrave parce qu’elle emprunte à des taux de plus en plus élevés, cela nous le savons. Mais il se produit également un (Les Articles Indéfinis) autre phénomène qui aggrave la crise que connaît ce (Les Adjectifs Démonstratifs) pays, et qui l’entraîne droit vers la situation de la
(Les Prépositions) Grèce : ce (Les Adjectifs Démonstratifs) sont essentiellement les banques espagnoles qui achètent – à crédit
– la
dette émise par Madrid. Il faut bien lire ce (Les
Adjectifs Démonstratifs)
passage d’un article des Echos :
« La taille modeste de l'opération (Les Prépositions) d'aujourd'hui [émission de 2
milliards d’euros
d’obligations
à moyen-terme] a permis aux acheteurs domestiques d'absorber l'offre », explique Nicholas
Spiro, directeur de Spiro Sovereign Strategy. Depuis les
injections de
liquidités de
la (Les Prépositions)
Banque centrale européenne
(BCE), les
banques domestiques ont pris le relais des investisseurs étrangers, qui fuient le marché
de la dette
publique espagnole.
Les investisseurs étrangers sont partis, ils ne prêtent plus à l’Espagne, ni d’ailleurs à ses (Les Adjectifs Possessifs) banques, plombées par la bulle immobilière. Ces (Les Adjectifs Démonstratifs) dernières n’ont donc plus accès au (Les Prépositions) marché interbancaire, elles se tournent alors vers la BCE à qui elles empruntent de l’argent à 1% (le taux directeur de la BCE) pour acheter de la (Les Prépositions) dette espagnole qui rapporte 4 (Les Nombres Cardinaux) à 6%. Elles le font parce que Madrid les oblige à le faire (sinon personne n’achèterait ses (Les Adjectifs Possessifs) obligations !), et comme le pouvoir soutient les banques en difficulté, elles ne peuvent pas refuser. Elles le font aussi parce que c’est rentable (emprunter à 1% et acheter des obligations qui rapportent 4 à 6%). Cependant ce (Les Adjectifs Démonstratifs) bénéfice reste minuscule par rapport à leurs (Les Adjectifs Possessifs) créances immobilières douteuses, mais cela apporte une (Les Articles Indéfinis) amélioration temporaire.
Les investisseurs étrangers sont partis, ils ne prêtent plus à l’Espagne, ni d’ailleurs à ses (Les Adjectifs Possessifs) banques, plombées par la bulle immobilière. Ces (Les Adjectifs Démonstratifs) dernières n’ont donc plus accès au (Les Prépositions) marché interbancaire, elles se tournent alors vers la BCE à qui elles empruntent de l’argent à 1% (le taux directeur de la BCE) pour acheter de la (Les Prépositions) dette espagnole qui rapporte 4 (Les Nombres Cardinaux) à 6%. Elles le font parce que Madrid les oblige à le faire (sinon personne n’achèterait ses (Les Adjectifs Possessifs) obligations !), et comme le pouvoir soutient les banques en difficulté, elles ne peuvent pas refuser. Elles le font aussi parce que c’est rentable (emprunter à 1% et acheter des obligations qui rapportent 4 à 6%). Cependant ce (Les Adjectifs Démonstratifs) bénéfice reste minuscule par rapport à leurs (Les Adjectifs Possessifs) créances immobilières douteuses, mais cela apporte une (Les Articles Indéfinis) amélioration temporaire.
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